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Star Ciné Aventures, numéro 208, 1969. La couverture annonce "Cet homme qui va mourir" mais à l'intérieur, c'est surtout 49 pages d'Elsa Martinelli en cow-girl.
Elsa Martinelli. En cow-girl.
Je bave, je bave, je bave.
Titre original de l'œuvre cinématographique : Il mio corpo per un poker. Je ne te ferais pas l'affront de te traduire la chose.
Bref. Elsa Martinelli, alias Belle Starr, joue ses fesses au poker, face à ce grand auto-anthropophage dégingandé de Georges Eastman. Elle perd mais le bon vieux pote à d'Amato est un gentleman, un vrai. Il touche pas à la marchandise, parole de scout. À part ça, il se passe plein de trucs et de bidules. Ils fument des faux havanes et discutent de la pluie et du beau temps qu'il doit faire de l'autre côté de la frontière. C'est chouette mais ça dure. Quelques coups de flinguots par-ci par-là, un peu de trahison, un mariage forcé avec un vieux grigou, un casse de diam's pour pimenter l'ensemble, des canassons qui font cata-clop cata-clop (ou tagada tagada, si t'es un peu fraise sur les bords) et Robert Wood qui meurt comme un malpropre. Je n'ai jamais vu le film (et j'aimerai, oh oui, j'aimerai !) mais la version photoroman semble passablement charcutée. Donc, passablement illisible.
Mais je m'en fous.
Car y'a Elsa Martinelli en cow-girl.
Et aussi, dans l'ordre des vignettes gracieusement présentées ci-dessous par mézigue : Elsa Martinelli en cow-girl existentielle, Elsa Martinelli en cow-girl triste, Elsa Martinelli qui se dessape pour aller se baigner, Elsa Martinelli qui fume des cigarillos avec une bague à l'auriculaire, Elsa Martinelli bâillonnée, Elsa Martinelli énervée, Elsa Martinelli menaçante et Elsa Martinelli fatiguée par une longue chevauchée. Fiou !
Sacré festival, hein ?
3 commentaires:
J'irais bien me baigner aussi !
'ttention, Artie, la donzelle est armée et dangereuse !
http://jhalaldrut.blogspot.com/2011/10/eternal-elsa-martinelli.html
plus.
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