La plus belle planche, c'est la quatre-vingt-quatrième (très Pravda La Survireuse, je trouve) mais le reste vaut aussi son pesant de petite monnaie pour tout les amateurs de crayons crados et de bulles vulgaires ("Grosse tarte à nœuds !" Yeah !).
A noter aussi, pour ceux qui mettront la main sur cette œuvre, l'étrange usage de la double-splash-page, celles-ci étant constamment coupées en deux, la partie 1 en page impaire et la partie 2 en page paire. Du beau boulot, à tout les niveaux !
2 commentaires:
on ne dira jamais assez de bien de monsieur Guerber !
au fait, bienvenu dans la ronde ;)
Enregistrer un commentaire