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OÙ EST PASSÉ FRANK SINATRA ?

Tout comme Elvis Presley gratifia de sa be-bop-a-lulesque présence les pages d'un épisode de Satanik (alias Satanas, alias Demoniak), Frank "The Voice" Sinatra eu droit à son cameo non-officiel dans un épisode de la série Goldboy.
Goldboy, tu le sais probablement déjà mais je te le redis afin de te rafraichir la mémoire-vive, Goldboy, c'est Goldrake - l'agent sexy numéro 1, Le Magnifique en mode fumetti, Belmondo chez ces toqués d'Italiens.
Bien entendu, qui dit Goldboy dit Ursula, l'assistante ultra-sexy de notre héros et dont les traits évoquent (et plus si affinités) le visage et le corps de Miss Andress, la Honey Rider en chef.
Et qui dit Frankie dit Dino, le seul et l'unique, le Dean Martin.


Continuons en suivant le même pattern.
Qui dit Dino dit p'tites pépées. En l'occurrence, ici, c'est Allison Parks, la lapine playboy de l'année 1966.
Du monde au balcon, et tout ça pour pas un rond.


Et qui dit Frankie, qui dit Dino, qui dit p'tites pépés dit Ratpack donc dit Sammy Davis Junior.
Et là, c'est le drame.
Bordel. Y'a comme un bogue dans le système. Pourquoi, pourquoi, mais bon dieu pourquoi Sammy Davis Junior chante-t-il du Polnareff ?
Et ça ne s'améliore pas en case suivante (non-reproduite ici, remerciez-moi) puisque notre bon vieux Sammy, ayant certainement oublié les paroles tarabiscotées de l'autre folle permanentée, décide d'improviser un "lalalalère lalala" du plus mauvais effet...
J'accélère. Car il faut causer de l'intrigue qui, comme toujours chez Goldrake, se révèle excellente de bout en bout. On a l'impression d'être raide saoul mais sans l'appréhension de la gueule de bois.
Autant l'avouer, c'est du petit lait.

Ainsi, dans cet épisode, Frank Sinatra est enlevé par un espionne cubaine nymphomane et son comparse scientifique barbichu qui, lui même, se fait enlever par des Porto-ricains (une variante au porto du cocktail Martini-ricain), Porto-ricains et scientifique barbichu qu'on ne reverra plus mais de cela, on s'en fout, because Ursula est elle aussi enlevée par le sbire de l'espionne et du scientifique, une sorte de robot humanoïde avec des faux airs du Morpho de L'Horrible Docteur Orloff mais en plus pervers, le sagouin car qui dit Goldboy dit perversions (sexuelles) donc dit Ursula qui se fait (au choix) violer et/ou fouetter par des mécréants car, c'est bien simple, Ursula, si elle apparait dans les épisodes de Goldboy, c'est uniquement pour se faire torturer salinguement par des détraqués du bulbe.
Dur dur, la condition féminine !
Bon, ici, c'est le fouet uniquement - pas de viol - mais à la place, on a droit à un petit tour de bondage dans les airs, à l'arrière de l'hélico de Morpho - ce sacré gredin nous prouvant ainsi qu'il est resté un grand n'enfant dans l'âme.
(Moi aussi, j'adore les hélicos...)


Rassurez-vous, Ursula n'en meurt pas. Sauvée in-extremis par Goldboy, elle en est quitte pour quelques égratignures et un petit séjour à l'hôpital tandis que notre héros poursuit son aventure en solo, ne rechignant pas à payer de sa personne pour tirer Frank Sinatra des griffes de l'espionne nymphomane.
Quelques images pour ton édification perso :





Concluons rapidement. Car c'est le problème avec Goldboy : c'est tellement génial qu'on a envie de tout scanner. Alors histoire de pas trop m'épancher, je laisse le mot de la fin à Frankie et Goldy...
YEAH !

ELVIFRANCE : INCUBE # 5 (1982)



Un bail que je n'ai pas posté de petit-format adulte Elvifrance
. Je me rattrape donc aujourd'hui avec le numéro 5 d'Incube, "Bête Humaine" - une excellente histoire d'horreur se déroulant deux années après la guerre de sécession. On y trouve un docteur-savant fou qui ressemble à Lon Chaney dans Le Fantôme de l'Opéra. Cloitré dans sa demeure de Floride, il expérimente sur des cobayes un sérum d'alligator.


Comme tu peux le remarquer, l'effet de cette décoction est radical !

Bien entendu, qui dit "alligator" dit "diverses mutilations sauvages dans des marais putrides..."
... et qui dit "Elvifrance" dit "nanas nymphomanes joyeusement torturées par d'atroces créatures."
Ainsi, la femme de notre docteur-savant-fou...

...connaitra une fin assez cocasse, à la morale surlignée en gras par son monstre supplicateur : "tu vas mourir par où tu as péché !"
...C'est ce qu'on appelle avoir littéralement le feu au cul.

ELVIFRANCE : MAT-CHO # 8 & 11 (1987)

en 1985, le monde tremblait sous les buuuuaarrgs retentissant du grand Sly Stallone. Lippe asymétrique, muscles ruisselants de sueur, fusil mitrailleur au poing, cartouchière calée au poignet et bandeau rouge autour du front, notre homme dépeuplait les campagnes vietnamiennes et atomisait de l'hélicoptère en pagaille pour le plus grand plaisir des ahuris friands de virilité militarisante.
Ce fut aussi l'époque qui vit la Edifumetto lancer la série Jeff Raimbo, variation en petit format N&B des exploits de devinez qui.
En France, la série fut bien entendu traduite par Elvifrance et parue dans le mensuel Mat-Cho en compagnie d'une seconde franchise ritale pas piquée des hannetons : Macho, soit les aventures d'un motard inverti défenseur du veuf bien roulé et de l'orphelin consentant. Un sacré coco qui nous fait douter quant à la virilité affichée de cette publication.
Je veux dire : j'achète un petit format avec en couverture un faux Rambo qui se tape des gonzesses tout en butant du musulman extrémiste ou du communiste pas sympa et, passé la page 105, ne voila-t-il pas que je me retrouve avec les aventures d'un Frank Zagarino ayant viré de bord, déguisé en Village People et qui, entre deux bastons façon Terrence Hill et Bud Spencer, se fait entretenir la robinetterie par des jeunots du même sexe que lui !
Ouais, ouais...
N'empêche, tout ça, c'est pas super viril, je dis.

ELVIFRANCE : SERIE VERTE # 193 (1991)

Elvifrance, vous le savez, c'est mon dada - dada quelque peu négligé ces derniers temps, mon dernier post sur le sujet datant de juin (souvenez-vous, c'était l'histoire du robot qui se greffe un gros chibre en métal pour assouvir ses penchants sadiques !)
Remettons-nous donc en jambe avec un petit série verte, un numéro assez tardif (91 tout de même), une histoire de robot craqué du circuit-imprimé violant et torturant de pauvres nénettes à gros seins.
Classique, me direz-vous. Oui, sauf que cette fois, le robot est programmé pour jouer du Shakespire et qu'une fois parti en mode psychokiller italien, il nous donne de bien belles représentations, à l'image des quatre cases suivantes :
Quelle poésie ! Quelle fougue ! Quel charisme !
Prenez-en de la graine, messieurs les criminels sexuels !

ELVIFRANCE: INCUBE # 80 (1990)

Pas tous les jours facile d'être un robot obsédé sexuel, pervers et sadique. Tenez, prenez le méchant cyborg d'Incube # 80. Les salauds qui l'ont conçu ne l'on même pas doté d'une bistouquette.
Devant une telle infamie, tu comprends que le gars soit salement remonté. Du coup, il extermine tout le monde en éclatant têtes et organes sans ménagements avant de perforer divers orifices avec de bien larges et bien grosses barres de fer.
Mais comme notre bonhomme en boite de conserve est aussi un petit malin foutrement débrouillard, il décide de s'auto-up-grader lui-même et se confectionne son bambou personnel avec les moyens du bord.
La pauvre fille... elle va charger...

ELVIFRANCE : WALLESTEIN # 11 (1978)

Un seul mot pour décrire cette couverture : brutal !

CANDI # 02 (1968)

Candi numéro 2, novembre 1968, une publication petit format fauchée (type V Magazine, format digest, mais sans le panache ni les belles illustrations) de Georges Bielec, le saint homme derrière la maison Elvifrance.






Pour information : il s'agit du premier post avec le nouveau scanner, un truc extra-plat qui m'a couté une bonne deux-centaine de bouquins Gérard De Villiers ultra-soldés et qui semble souffrir d'un daltonisme alarmant. Sur ces 6 images, ça semble être correct... mais pour les billets à venir, je ne garantie rien. Si ça se trouve, je vais finir par reproduire toutes les couvertures de livres critiqués sur le pulpbot avec ce bon vieux MS-Paint, la star du 4-bit.
Enfin bref, passons...
En prévision de cette première semaine de février : trois romans d'espionnages, deux romans pornos, un roman de spéculative-psychédélique et des tas de femmes toutes nues (si ça ne vous dérange pas, bien entendu) avec aussi quelques cases de fumetti. La formule habituelle, en quelque sorte...

ELVIFRANCE : SERIE VERTE # 120 (1985)

Encore plus loin dans les profondeurs de la stupidité ritale en noir et blanc et petit-format, un de mes numéros favoris de la série verte Elvifrance, j'ai nommé : Pour Vaincre Les Snokors !
Mais comment vaincre les Snokors, affreuses créatures sanguinaires, poilues et indestructibles ? Simple : faut leur administrer avec tendresse et technicité une bonne petite fellation des familles.
Mademoiselle, pensez à l'avenir de l'humanité, bon dieu !

Bon, tout compte fait, j'ai un peu l'impression que la fellation, ça marche moyen sur ce Snokor...

NOUVEAU PROLO # 4 (1982)


Un mois du Membre sans parler de Gus, dit Spidy le gonze à l'aise, emblématique héros de la série Prolo/Nouveau Prolo, routier super-équipé, maxi-outillé, plus cool que Pat Magnum, ce n'est pas un mois du membre digne de ce nom.
Et pour ceux qui en redemandent, plus de Gus ici !
Rah ! Quel homme, ce Gus !

ELVIFRANCE : SERIE VERTE 186 (1990)

Encore un grand moment de délicatesse et d'érotisme made in EF : les nains cochons, infâmes créatures sorties des fantasmes d'une petite fille... non, non, je ne blague pas. C'est un scénario Gozzo. Et avec Gozzo, tout est possible...
Oui, tout est possible. Comme, par exemple, les nains cochons indestructibles qui baisent comme des bêtes (en chantant)... ...ou les robots pervers amateurs de parties genitales reduites en bouillie (mais ce passage-là, je le garde pour un autre post).
Allez, hop, soyons fous. Un dernier petit extrait des nains cochons, pour le plaisir... Une sacrée bande de joyeux drilles !