Elvifrance, vous le savez, c'est mon dada - dada quelque peu négligé ces derniers temps, mon dernier post sur le sujet datant de juin (souvenez-vous, c'était l'histoire du robot qui se greffe un gros chibre en métal pour assouvir ses penchants sadiques !)
Remettons-nous donc en jambe avec un petit série verte, un numéro assez tardif (91 tout de même), une histoire de robot craqué du circuit-imprimé violant et torturant de pauvres nénettes à gros seins.
Classique, me direz-vous. Oui, sauf que cette fois, le robot est programmé pour jouer du Shakespire et qu'une fois parti en mode psychokiller italien, il nous donne de bien belles représentations, à l'image des quatre cases suivantes :
Quelle poésie ! Quelle fougue ! Quel charisme !Prenez-en de la graine, messieurs les criminels sexuels !
4 commentaires:
c'est plus un coup de bite qu'un coup de théâtre ça
bravo. j'applaudis. c'est un très beau retour en farce que vous nous faites, monsieur lolo.
Il semble affronter des maqu' bêtes. Est-ce qu'on a ôté l'eau ?
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en tout cas, on ne fait pas d'Hamlet sans casser les œufs.
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