Je ne vais pas vous la faire longue. Les anniversaires et moi, ça fait deux. Mais voila, le Müller-Fokker a 5 berges et 5 berges, c'est un joli chiffre.
Mon chiffre préféré, soit dit en passant.Et puis 5 berges, mises bout à bout, ça fait un joli total. 422 billets au compteur, t’avouera, c'est pas rien.Bien sûr, y'a eu des ratages, et puis des trucs plutôt chouettes. Du nanan et du mignon, du choucard et du loupé, bref, y'a eu de l'activité.Certes, j'aurai bien aimé, pour l'occase, atteindre la barre - ô combien symbolique - des 500 biftons mais, ouais, c'est ainsi, les choses sont ce qu'elles sont et l'année qui vient de passer n'a pas été foutrement productive. La faute à la vie quotidienne, d'abord. Good times, bad times, comme le chantaient les autres chevelus britons.Bad times surtout.La faute aussi à ce projet papier dans lequel je me suis lancé en décembre dernier. Un truc de longue haleine. Un panorama de la littérature d'espionnage francophone des années 50 à 70 avec, en prime, façon cerise baveuse sur le gâteau bien beurré, un répertoire des agents secrets ayant pu officier dans ces bouquins, de OSS 117 à KB-09 en passant par 999, 004, X-13, K2, TTX-75 et tous leurs potes. Autant dire que je n'en ai pas encore vu le bout, de ce tunnel de matricules. Et de loin.En attendant, le Müller-Fokker... eh ben, ouais, le Müller-Fokker, je vais essayer de le garder en activité.Et ce n'est pas une parole en l'air, promis juré.Les prochains billets, d'ailleurs, devraient concerner la vérité sur les sous-vêtements (sales) du Judoka, la vie privée (et sexuelle) de Vic St Val, les sentiments amoureux entre soldats nazis et infirmières soviétiques dans les romans Gerfaut et la philosophie du branleur couché qui se réveille au petit matin avec une gaule d'acier.Bref, rien que de l'habituel.Le tout ad vitam æternam because, voyez vous, je m'en voudrais de faire mentir Humphrey Beau-regard.Le Müller-Fokker, vous allez en prendre pour au moins 20 berges.Et ne comptez pas sur une éventuelle remise de peine.
THE DESTROYER / L'IMPLACABLE # 1 - 5
Il y a 11 ans
14 commentaires:
Cinq ans ?
Sans remise de peine ?
Dur !
Ce que c'est de poster AVANT de lire l'article (de la mort) ^^
On s'en fout. On est des durs, des tatoués. On peut faire les vingt berges sur une seule jambe, en chantonnant. Même pas peur.
Hola ! mais c'est qu'il y a de l'insubordination dans l'air ! La chienlit se rebifferait-elle ?
Oh !
Monsieur Jammes, pour votre honteuse saillie, vous écoperez de 6 jours de trou, sans sortie ni repas.
Quant à monsieur Pop9, si il continue à jouer les joyeux drilles, je l'envoie se faire bronzer la couenne au Bat d'af, ça lui fera les pieds !
Non mais !
Quand on aime on a toujours 20 berges !
Oui, oui, on en redemande volontiers pour 20 ans.
à vous suivre...
Nous attendrons donc avec ferveur et espérance le(s) chapitre(s) sur les infirmières russes...
Félicitations et longue vie !
Génial ! Et on attend aussi impatiemment la somme sur papier. Merci.
Ce panorama papier des barbouzes frenchy 50-60-70 m'a l'air tout ce qu'il y a de plus bath, mais de fait, y'a du taf ! Ca doit même être un sacré turbin.
Je sursaute et exulte à l'annonce de ce panorama de la littérature d'espionnage francophone des années 50 à 70, qui, forcément, devra commencer en 1948 avec la première collection d'espionnage de la S.E.G. Tu auras sans doute besoin d'un coup de main, mon gars...
Bravo. L'invasion continue donc ;)
On en redemande, boljémoï ! (Et dommage qu'on n'ait pas pu causer un peu à Sèvres !)
Merci à tous pour ces commentaires !
Concernant le répertoire des agents secrets / panorama de la littérature d'espionnage francophone, c'est en effet un boulot qui est loin d'être terminé. Pas avant au moins deux années, minimum. Et, en effet Maciste, je vais certainement avoir besoin d'aide...
(et, cher Kerys, concernant Sèvres, j’espère que ce n'est que partie remise !)
Enregistrer un commentaire