Les Farceurs # 1, suite. Le match de foot est terminé, les joueurs regagnent leurs vestiaires et Marianne, cette insatiable petite cochonne, se paye un jeton de mate dans les douches collectives. Face à tant de robinetteries exhibées, elle nous offre alors cette sublime réflexion, attention, accrochez-vous :
Tellement vrai que je n'ai rien à rajouter.
Tellement vrai que je n'ai rien à rajouter.
2 commentaires:
Belle pensée Républicaine, foutredieu !
Oui Marianne nous ne sommes pas tous égaux.....
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