OTAGES DE LA MAFIA RUSSE, JEAN-QUENTIN GÉRARD
SPAL / OBJECTIF CHOC # 1, 1993
je l'expliquais en partie dans le billet précèdent, je l'approfondi ici même : j'ai beau lire beaucoup de saloperies, je ne lis pas non plus n'importe quoi. J'ai mes principes, j'ai ma fierté.
Du coup, le bouquin qui figure à ta gauche sur l'écran, celui-là même avec un blonde qui braque son brelica à la face du consommateur potentiel, eh bien, ce fut niet !
Et du coup, de ton coté, tu te demandes probablement pourquoi donc que je t'en cause, de ce bouquin que je n'ai pas lu, hein ?
Ah ben ça mon pauvre ami, raahlala ! (ou lalalouille !, comme dirait Sally dans Sam et Sally) - enfin, lalalatruc, quoi - bref, recentrons nous, hop, on va se farcir le schproum façon travaux pratiques pour simplets.
Donc. Tu regardes bien la couverture. Tu la fixe. Tu t'en imprègnes. Tu l'analyses. Voila.
Tout en haut, nous avons le titre de l'ouvrage. Otages De La Mafia Russe. Ça ne donne pas du tout envie, non, pas du tout du tout - ça, c'est une certitude. Bon. Passons.
Tout en bas, c'est le logo de la collection. Objectif Choc. Ça sonne comme un slogan pour tabloïd craspec. L'envie se ratatine un peu plus. Soit. Mais ce qui nous intéresse vraiment se situe un poil au dessus d'Objectif Choc. C'est la petite accroche, là : Roch Valmont contre les VRP.
En fait, c'est surtout le début de l'accroche qui est important. Roch Valmont, tout court.
Roch Valmont... Réfléchis deux secondes... Réfléchis bien... Ça ne te dis rien ?
Non ?
Vraiment ?
T'es sur ???
...Bon, dans ce cas... est-ce que Laroche Valmont, ça te dit quelque chose ?
Toujours pas ????
Non mais putain, mais tu fais quoi de tes week-ends ? t'as jamais foutu les pieds dans une soirée karaokée ou quoi ??? Ben oui, Laroche Valmont, LAROCHE VALMONT, BON DIEU !!! Le gars qui... euh... qui chantait... on va dire ça pour faire simple... donc, oui, l'ahuri à casquette, costard et lunettes qui "chantait" ce tube intemporel que fut T'as Le Look Coco...
Ah, ça te revient, mon coquin ! T'as le look coco ! Coco, t'as le look ! Pas de doute coco, t'as le look qui te colle à la peau !
Raaah-lala-louille ! Quelle pèche d'enfer que ça te donne, ce truc ! Mieux que de la coco, ya pas à dire !
Bref. Ça n'empêche pas. tu te questionnes. Quel peut bien être le rapport entre mon bouquin de merde que je n'ai même pas lu et ce flamboyant one-hit-wonder des années 80 ?
Eh bien ça, mon cher coco, c'est tout simple. Je dirais même plus :
c'est élémentaire mon cher coco !
Car le coco qui se cachait derrière le nom de scène de Laroche Valmont, il s'appelait Jean-Quentin Gérard. Et le coco qui écrivit les aventures de Roch Valmont (contre les VRP), eh bien, ya pas de doute coco, c'était le même coco : Jean-Quentin Gérard.
Ça t'en bouche un coin, 'pas ?
SPAL / OBJECTIF CHOC # 1, 1993
je l'expliquais en partie dans le billet précèdent, je l'approfondi ici même : j'ai beau lire beaucoup de saloperies, je ne lis pas non plus n'importe quoi. J'ai mes principes, j'ai ma fierté.
Du coup, le bouquin qui figure à ta gauche sur l'écran, celui-là même avec un blonde qui braque son brelica à la face du consommateur potentiel, eh bien, ce fut niet !
Et du coup, de ton coté, tu te demandes probablement pourquoi donc que je t'en cause, de ce bouquin que je n'ai pas lu, hein ?
Ah ben ça mon pauvre ami, raahlala ! (ou lalalouille !, comme dirait Sally dans Sam et Sally) - enfin, lalalatruc, quoi - bref, recentrons nous, hop, on va se farcir le schproum façon travaux pratiques pour simplets.
Donc. Tu regardes bien la couverture. Tu la fixe. Tu t'en imprègnes. Tu l'analyses. Voila.
Tout en haut, nous avons le titre de l'ouvrage. Otages De La Mafia Russe. Ça ne donne pas du tout envie, non, pas du tout du tout - ça, c'est une certitude. Bon. Passons.
Tout en bas, c'est le logo de la collection. Objectif Choc. Ça sonne comme un slogan pour tabloïd craspec. L'envie se ratatine un peu plus. Soit. Mais ce qui nous intéresse vraiment se situe un poil au dessus d'Objectif Choc. C'est la petite accroche, là : Roch Valmont contre les VRP.
En fait, c'est surtout le début de l'accroche qui est important. Roch Valmont, tout court.
Roch Valmont... Réfléchis deux secondes... Réfléchis bien... Ça ne te dis rien ?
Non ?
Vraiment ?
T'es sur ???
...Bon, dans ce cas... est-ce que Laroche Valmont, ça te dit quelque chose ?
Toujours pas ????
Non mais putain, mais tu fais quoi de tes week-ends ? t'as jamais foutu les pieds dans une soirée karaokée ou quoi ??? Ben oui, Laroche Valmont, LAROCHE VALMONT, BON DIEU !!! Le gars qui... euh... qui chantait... on va dire ça pour faire simple... donc, oui, l'ahuri à casquette, costard et lunettes qui "chantait" ce tube intemporel que fut T'as Le Look Coco...
Ah, ça te revient, mon coquin ! T'as le look coco ! Coco, t'as le look ! Pas de doute coco, t'as le look qui te colle à la peau !
Raaah-lala-louille ! Quelle pèche d'enfer que ça te donne, ce truc ! Mieux que de la coco, ya pas à dire !
Bref. Ça n'empêche pas. tu te questionnes. Quel peut bien être le rapport entre mon bouquin de merde que je n'ai même pas lu et ce flamboyant one-hit-wonder des années 80 ?
Eh bien ça, mon cher coco, c'est tout simple. Je dirais même plus :
c'est élémentaire mon cher coco !
Car le coco qui se cachait derrière le nom de scène de Laroche Valmont, il s'appelait Jean-Quentin Gérard. Et le coco qui écrivit les aventures de Roch Valmont (contre les VRP), eh bien, ya pas de doute coco, c'était le même coco : Jean-Quentin Gérard.
Ça t'en bouche un coin, 'pas ?
3 commentaires:
Non seulement on peut être un grand homme, mais on peut être deux grands hommes. Albert Einstein et Béla Bartók étaient également une seule et même personne, d'ailleurs.
Ouais, ça m'en bouche un coin-coin mon coco.
Excellent, comme d'hab' !
Pop9 : votre révélation ne m'étonne pas. j'ai toujours trouvé la musique de Bartok foutrement atomique.
Artie : merci coco !
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