Amis lecteurs, veuillez m'excuser.
Je coupe court (après date de péremption) à mon double mois de la testostérone littéraire. Je n'ai pas causé de tout ce dont je désirais mais, voyez-vous, mon ordinateur patauge dans la semoule et ma connexion internet, piquée en wifi à des voisins insouciants, se montre aussi vivace qu'une limace dans une flaque d'urine.
Bref, c'est pas flambant et je me vois bien condamné jusqu'à nouvel ordre à tremper ma clef USB dans les ports crasseux de cyber-cafés aux bords de la faillite, entre un cavedu qui dessoude de l'extraterrestre belliqueux en FPS et un ahuri qui hurle des imprécations devant une webcam défaillante pour essayer de joindre sa famille à l'étranger.
Des repaires fort peu reluisants, avec leurs machines en fin de vie et leurs patrons patibulaires, pour usiner ma douce prose populaire.
Bon, c'est tout de même attachant pour qui aime le glauque aseptisé des espaces sociaux contemporains mais les tarifs prohibitifs empêchent néanmoins d'apprécier l'expérience à sa juste valeur. Je vais donc faire dans le sommaire. La thématique virile se conclura en points de suspension.
Les prochains mois seront plus sobres. Deux billets polardeux ne vont pas tarder à être en ligne. La suite est en cours, façon pot pourri : SF éclatée, espionnage foireux, SF retro, polar violent, porno déglingo, roman-photos, fumetti, illustrations... et ainsi de suite...
J'espère aussi pouvoir causer western, un genre encore non abordé sur le Müller.
Mais pour l'instant, je laisse le mot de la fin à Timothy Leary, tiré du spoken word Gillacopter des Revolting Cocks, conclusion provisoire à la thématique des mois d'avril viril et de mai burné :
"Turn down the machines. Turn down the helicopter.
Turn down the prime time. Shut those guns down.
Yeah, yeah...
...isn't that better ? "
Je coupe court (après date de péremption) à mon double mois de la testostérone littéraire. Je n'ai pas causé de tout ce dont je désirais mais, voyez-vous, mon ordinateur patauge dans la semoule et ma connexion internet, piquée en wifi à des voisins insouciants, se montre aussi vivace qu'une limace dans une flaque d'urine.
Bref, c'est pas flambant et je me vois bien condamné jusqu'à nouvel ordre à tremper ma clef USB dans les ports crasseux de cyber-cafés aux bords de la faillite, entre un cavedu qui dessoude de l'extraterrestre belliqueux en FPS et un ahuri qui hurle des imprécations devant une webcam défaillante pour essayer de joindre sa famille à l'étranger.
Des repaires fort peu reluisants, avec leurs machines en fin de vie et leurs patrons patibulaires, pour usiner ma douce prose populaire.
Bon, c'est tout de même attachant pour qui aime le glauque aseptisé des espaces sociaux contemporains mais les tarifs prohibitifs empêchent néanmoins d'apprécier l'expérience à sa juste valeur. Je vais donc faire dans le sommaire. La thématique virile se conclura en points de suspension.
Les prochains mois seront plus sobres. Deux billets polardeux ne vont pas tarder à être en ligne. La suite est en cours, façon pot pourri : SF éclatée, espionnage foireux, SF retro, polar violent, porno déglingo, roman-photos, fumetti, illustrations... et ainsi de suite...
J'espère aussi pouvoir causer western, un genre encore non abordé sur le Müller.
Mais pour l'instant, je laisse le mot de la fin à Timothy Leary, tiré du spoken word Gillacopter des Revolting Cocks, conclusion provisoire à la thématique des mois d'avril viril et de mai burné :
"Turn down the machines. Turn down the helicopter.
Turn down the prime time. Shut those guns down.
Yeah, yeah...
...isn't that better ? "
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