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En dehors des sublimes première et quatrième de couverture, rien de bien excitant à signaler dans ce récit illustré des aventures d'Hubert Bonisseur de la Bath, agent OSS 117 de la C.I.A. Le dessinateur (anonyme ?) se débrouille un peu mieux que la grosse moyenne de ses confrères œuvrant dans le genre mais on est très loin du Huescar de Coplan # 8.
Voila qui est fort triste.
Observons néanmoins la neuvième planche du récit, assez crétine dans son déroulement...
...ah oui, en effet !
Ça, c'est bien crétin ! Ou comme le dit le futur défunt en clamsant, case numéro 2 : "c'est vraiment con, vraiment trop con..."
Maintenant, si quelqu'un pouvait m'expliquer ce que notre larron homicidaire magouille dans la poche du gniard qu'il vient d'exécuter, et pourquoi il n'arrive pas à sortir sa pogne de la zone incriminée tandis que la gertrude insultée dans sa douleur se masque chastement le visage de sa frêle menotte, eh bien...
je lui en saurai gré !
(Notice : ce post constitue un petit interlude au mois de l'espionnage sur le MFPE. Les prochains billets concerneront H.T. Perkins, Larry Douglas (alias Baudouin Chailley), les éditions de l'Arabesque, Yves Dermeze et le Fleuve Noir...)
3 commentaires:
Belle couverture.
On savait emballer le poisson chez Arédit.
Le coup de la main coincée dans la poche... Hilarant !
Amusant aussi, ce pistolet qui ne manque pas d'expression. On a presque l'impression que le tout est bruité avec la bouche…
Zaït' : Ya vraiment de sacrés pervers dans les services secrets ! Trifouiller le benouze d'un homme, non mais quelle honte !
Kerys : Surement un gadget d'espion : le pistolet qui parle !
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