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Duo # 3, 1970, éditions Janvier. C'est du petit-format importé d'Italie, autant dire qu'on connait la formule.
Ça débute avec des clichés de filles dénudées, ça continue avec un photo-roman plein de bagarres et de clichés de filles dénudées puis ça se conclu avec de nouveaux clichés de filles dénudées.
En bref, c'est bonnard, pas un poil vasouillard, de quoi t'auticher la rétine et me ragaillardir les statistiques de ce blog qui, actuellement, soyons honnête, se dessinent en glissade tout schuss sur une piste-noire Himalayenne non-homologuée.
La première nénette, c'est Alyette - gentille Alyette que j'avais déjà rencontré à la toute fin du numéro 10 de Favorites (éditions Janvier, 1969) mais à l'époque, elle ne s’appelait pas Alyette, non, elle s’appelait Leone.
...et la seconde, c'est Franca, que je ne connaissais pas le moins du monde, qui me semble être une nistonne fort peu farouche mais qui ne doit certainement pas s’appeler Franca dans la vraie vie - même si, avouons que cette question de prénom n'est pas très grave car, vraiment, le prénom d'une greluche posant pour une revue coquinne, on s'en tamponne les noisettes dans le grandes largeurs et que ce qui compte, au final, c'est... c'est... enfin, bon, je vais pas te faire un dessin, t'es suffisamment dégourdi du slibard pour terminer cette phrase à ma place.
Et puis, restons serieux, faut aussi causer du photo-roman qui occupe les pages 40 à 160.
Alors, ce photo-roman-là,
c'est un photo-roman avec des échanges de gnons...
...et c'est aussi un photo-roman avec de la sensualité, tellement torride, la sensualité, qu'elle te brule les doigts dès que t'en touches les pages...
...et un photo-roman avec de la tendresse...
(mais faites excuses à Ted, il sort de taule, le gniasse, alors faut le comprendre, ça fait deux ans qu'il n'a pas tâté des formes plantureuses et rebondies des petites poulettes qui peuplent ce genre de productions donc, à peine débarqué dans ce photo-roman le voila qui s’excite, qui s’emballe, qui s’oublie, ne lui en tenons pas rigueur, c'est humain !)
...et surtout, j'y reviens, un photo-roman avec des échanges de gnons, échanges de gnons qui, cette fois, pour une fois, n’épargnent personne, surtout pas les gonzesses.
Page 160, le photo-roman se termine. Ted remballe ses billes et emballe Sylvie, une nana qui aime qu'on la straight-punch violemment. L'éditeur en revient au fondamentaux, les clichés de nénettes denudées, et c'est d'autant plus misto que cette nénette-là ne m'est pas inconnue...
Ami lecteur, saura-tu la reconnaitre ?
Et oui, il s'agit bien de Pénélope Lamour, l'inoubliable Joëlle au vagin causeur du film Le Sexe Qui Parle de Frédéric Lansac, fabuleux classique du cinoche porno français.
Mais reprenons nos sens, il est déjà l'heure de se quitter.
Alors, au revoir, Duo numéro trois, et bien le bonsoir, quatrième de couverture.
2 commentaires:
Superbe, et rien que pour Alyette, je reprends des rillettes !
Joli "noeud (!) graphique" sur la 4e de couv' ^^
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